Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Kassaman binnazilat ilmahiqat..." le plus noir des crimes est celui qui consiste à obscurcir la conscience politique et d’égarer tout un peuple" d'Emile ZOLA

Le nom de ce blog est sans doute évocateur de notre "nachid el watani" tant décrié par le passé parce que, associé au pouvoir Algérien illégitime. Après des décennies de disettes. Je voudrais faire de cet espace, un coin où tous mes compatriotes et autres amoureux de libertés, de démocratie, ou tout simplement d'histoire pourraient s'exprimer librement. En ce sens, nous vous souhaitons la bienvenue. En hommage à Nacer Hachiche, repose en paix et à bientôt ! Pour garder le contact avec notre chère patrie : http://www.alger-presse.com/index.php/presse-fr


La capitale (Alger) menace ruine (source Le Jour d'Algérie)

Publié par The Algerian Speaker sur 22 Juin 2013, 09:31am

Catégories : #EL HOGRA (Le mepris)

vieux-bati-d-alger.jpgLa majorité des immeubles inscrits dans le vieux bâti datent de plus de 100 ans. Il y a péril en la demeure, puisqu'«un effondrement peut survenir à tout moment» et il faut «s'attendre au pire».a majorité des immeubles inscrits dans le vieux bâti datent de plus de 100 ans. Il y a péril en la demeure, puisqu'«un effondrement peut survenir à tout moment» et il faut «s'attendre au pire».
1800 immeubles risquent de s’effondrer.
Pas moins de 1 800 immeubles d’Alger- Centre, dont 30% relevant du secteur privé, «sont en état de vétusté avancé en raison de l’absence d’entreprises qualifiées dans la réhabilitation du vieux bâti», a affirmé jeudi à Alger le président de l’Assemblée populaire communale (APC) d’Alger-Centre, Abdelhakim Bettache, dans un entretien à l’APS.
Soulignant que la majorité des immeubles en question datent de plus de 100 ans, il estimera qu’il y a péril en demeure puis qu’«un effondrement peut survenir à tout moment» et qu’il faut «s’attendre au pire».
Pour le nouveau P/APC d’Alger-Centre, la raison de cet état de dégradation est essentiellement due à l’absence de la conciergerie qui représente, à elle seule, «50% de la prise en charge des immeubles», accusant ainsi l’OPGI (Office de promotion et de gestion immobilière) d’avoir «abandonné ces immeubles.
Cela fait plus de 10 ans que le métier de concierge n’existe plus». D’autre part, il appellera les autorités publiques à adopter une stratégie adéquate pour «obliger» les propriétaires privés de ces immeubles «à prendre en charge la propreté ».
Selon lui, ces derniers refusent d’entretenir leurs biens, notamment ceux situés au niveau des artères Larbi Ben M’hidi, Didouche Mourad, la rue des frères Belili et Télemly, arguant que «les privés préfèrent laisser leurs immeubles dans un état lamentable, pour récupérer, par la suite, le terrain, une fois que les locataires sont tous relogés ».
En outre, M. Bettache soulignera avoir reçu l’accord du wali d’Alger pour la réhabilitation de toutes les bâtisses de la rue Ahmed- Chaïb (ex-Tanger), sans toutefois donner plus détails sur les voies et les moyens qu’entreprendra la commune d’Alger-Centre pour cette opération.
Et pour cause, et M. Bettache l’aura relevé : il y a une réelle «absence d’entreprises qualifiées dans la réhabilitation des vieux bâti». Défaut d’entreprises, d’entretien et de conscience civique Là est en réalité le fond du problème du vieux bâti en Algérie.
En dépit d’une volonté politique pour mener une véritable campagne de réhabilitation du vieux bâti pour laquelle 10 milliards DA ont été débloqués l’année dernière par l’Etat à cet effet, notamment dans les grandes villes telles qu’Alger, Oran, Constantine, Skikda et Annaba, l’opération a enregistré un retard manifeste et n’a démarré qu’il y a seulement quelques semaines, à Oran surtout.
Un retard essentiellement dû à une carence nationale en matière d’entreprises et de bureaux d’études spécialisés dans la rénovation, l’entretien et la réhabilitation d’anciennes bâtisses. Et c’est pour cela que l’Etat a fait appel à des sociétés italiennes, françaises qui, elles, détiennent le savoir-faire en la matière.
Aussi, des programmes de formation d’artisans maçons spécialisés ont été récemment lancés dans le domaine de la maçonnerie traditionnelle en vue de l’acquisition des techniques d’utilisation de la chaux, indispensables pour tout artisan ou entreprise appelée à intervenir dans la restauration des vieilles maisons ou des monuments anciens.
Il est évident que c’est un travail qui s’inscrit dans le temps à moyen et long terme qui, au final, permettra l’émergence d’entreprises spécialisées dans la restauration du vieux bâti. Par ailleurs, si la dégradation de ces bâtisses est due au temps, d’autres facteurs, et pas des moindres, ne sont pas pour autant à écarter.
Tous les spécialistes s’accordent en effet à dire que «l’absence d’entretien a toujours été fatale au patrimoine immobilier». Et que, certes, «le poids des années joue un rôle important dans la dégradation des matériaux mais il n’est pas pour autant la principale cause».
L’entretien périodique de ces immeubles, consistant à veiller au bon fonctionnement des conduites d’eau, de gaz et d’électricité, l’état de l’étanchéité des terrasses, la peinture et le revêtement, sont autant d’actions qui en raison de leur absence sont pour une grande part responsables de la vétusté de ces bâtiments. Surtout ceux situés sur la bande du littoral qui subissent la corrosion des embruns marins.
«Il est important de comprendre qu’il ne suffit pas de construire du neuf mais d’en assurer régulièrement l’entretien et la maintenance, car tout logement ou équipement a une durée de vie et est sujet périodiquement à une usure qu’il y a lieu d’entretenir dans le cadre d’un programme concret de suivi et réhabilitation, d’où la nécessité absolue de doter chaque bâtiment d’un carnet de santé», avait souligné en 2011 le Collège national des experts architectes (CNEA) dans son «Livre blanc».
Héritées de la période coloniale, les vieilles constructions, dont certaines ont une valeur historique, se dégradent. Celles d’Alger, d’El Harrach, de Bab El Oued en passant par Belouizdad (ex-Belcourt], Hussein Dey, El Madania, entre autres, sont sérieusement menacées. Une menace d’autant plus soutenue du fait des répliques telluriques répétitives qui surviennent à longueur d’année.
Il faut savoir également qu’à la suite des inondations de 2001 et au seisme de Boumerdès en 2003, plus de 80% des immeubles recensés ont plus de 50 ans d’âge. Sur les 57 communes que compte Alger, 8 présentent un grand danger pour les habitants, comme La Casbah, dont la vétusté des bâtisses est plus perceptible, Bab El-Oued, El-Madania, Sidi M’hamed, Belouizdad, Hussein- Dey et El-Harrach.
Selon un diagnostic du CTC, les bâtisses sont classées par niveaux : la classe I représente 15% des bâtisses menacées. La classe II, celles qui sont en dégradation critique, soit 52% des bâtisses menacées. La classe III représente 30%, et enfin la classe IV 1% seulement. Le parc immobilier dans la wilaya d’Alger souffre d’une vétusté alarmante.
Afin d’y faire face, outre l’important apport financier de l’Etat et un parc d’entreprises spécialisées, il s’agit également de dresser le bon diagnostic et d’engager une véritable opération de réhabilitation et de restauration, pas uniquement celle de peindre les façades des immeubles. Car comme dit l’adage national : «Toi qui est paré de l’extérieur, quel est ton véritable fond» !
 
Pas moins de 1 800 immeubles d’Alger- Centre, dont 30% relevant du secteur privé, «sont en état de vétusté avancé en raison de l’absence d’entreprises qualifiées dans la réhabilitation du vieux bâti», a affirmé jeudi à Alger le président de l’Assemblée populaire communale (APC) d’Alger-Centre, Abdelhakim Bettache, dans un entretien à l’APS.
Soulignant que la majorité des immeubles en question datent de plus de 100 ans, il estimera qu’il y a péril en demeure puis qu’«un effondrement peut survenir à tout moment» et qu’il faut «s’attendre au pire».
Pour le nouveau P/APC d’Alger-Centre, la raison de cet état de dégradation est essentiellement due à l’absence de la conciergerie qui représente, à elle seule, «50% de la prise en charge des immeubles», accusant ainsi l’OPGI (Office de promotion et de gestion immobilière) d’avoir «abandonné ces immeubles.
Cela fait plus de 10 ans que le métier de concierge n’existe plus». D’autre part, il appellera les autorités publiques à adopter une stratégie adéquate pour «obliger» les propriétaires privés de ces immeubles «à prendre en charge la propreté ».
Selon lui, ces derniers refusent d’entretenir leurs biens, notamment ceux situés au niveau des artères Larbi Ben M’hidi, Didouche Mourad, la rue des frères Belili et Télemly, arguant que «les privés préfèrent laisser leurs immeubles dans un état lamentable, pour récupérer, par la suite, le terrain, une fois que les locataires sont tous relogés ».
En outre, M. Bettache soulignera avoir reçu l’accord du wali d’Alger pour la réhabilitation de toutes les bâtisses de la rue Ahmed- Chaïb (ex-Tanger), sans toutefois donner plus détails sur les voies et les moyens qu’entreprendra la commune d’Alger-Centre pour cette opération.
Et pour cause, et M. Bettache l’aura relevé : il y a une réelle «absence d’entreprises qualifiées dans la réhabilitation des vieux bâti». Défaut d’entreprises, d’entretien et de conscience civique Là est en réalité le fond du problème du vieux bâti en Algérie.
En dépit d’une volonté politique pour mener une véritable campagne de réhabilitation du vieux bâti pour laquelle 10 milliards DA ont été débloqués l’année dernière par l’Etat à cet effet, notamment dans les grandes villes telles qu’Alger, Oran, Constantine, Skikda et Annaba, l’opération a enregistré un retard manifeste et n’a démarré qu’il y a seulement quelques semaines, à Oran surtout.
Un retard essentiellement dû à une carence nationale en matière d’entreprises et de bureaux d’études spécialisés dans la rénovation, l’entretien et la réhabilitation d’anciennes bâtisses. Et c’est pour cela que l’Etat a fait appel à des sociétés italiennes, françaises qui, elles, détiennent le savoir-faire en la matière.
Aussi, des programmes de formation d’artisans maçons spécialisés ont été récemment lancés dans le domaine de la maçonnerie traditionnelle en vue de l’acquisition des techniques d’utilisation de la chaux, indispensables pour tout artisan ou entreprise appelée à intervenir dans la restauration des vieilles maisons ou des monuments anciens.
Il est évident que c’est un travail qui s’inscrit dans le temps à moyen et long terme qui, au final, permettra l’émergence d’entreprises spécialisées dans la restauration du vieux bâti. Par ailleurs, si la dégradation de ces bâtisses est due au temps, d’autres facteurs, et pas des moindres, ne sont pas pour autant à écarter.
Tous les spécialistes s’accordent en effet à dire que «l’absence d’entretien a toujours été fatale au patrimoine immobilier». Et que, certes, «le poids des années joue un rôle important dans la dégradation des matériaux mais il n’est pas pour autant la principale cause».
L’entretien périodique de ces immeubles, consistant à veiller au bon fonctionnement des conduites d’eau, de gaz et d’électricité, l’état de l’étanchéité des terrasses, la peinture et le revêtement, sont autant d’actions qui en raison de leur absence sont pour une grande part responsables de la vétusté de ces bâtiments. Surtout ceux situés sur la bande du littoral qui subissent la corrosion des embruns marins.
«Il est important de comprendre qu’il ne suffit pas de construire du neuf mais d’en assurer régulièrement l’entretien et la maintenance, car tout logement ou équipement a une durée de vie et est sujet périodiquement à une usure qu’il y a lieu d’entretenir dans le cadre d’un programme concret de suivi et réhabilitation, d’où la nécessité absolue de doter chaque bâtiment d’un carnet de santé», avait souligné en 2011 le Collège national des experts architectes (CNEA) dans son «Livre blanc».
Héritées de la période coloniale, les vieilles constructions, dont certaines ont une valeur historique, se dégradent. Celles d’Alger, d’El Harrach, de Bab El Oued en passant par Belouizdad (ex-Belcourt], Hussein Dey, El Madania, entre autres, sont sérieusement menacées. Une menace d’autant plus soutenue du fait des répliques telluriques répétitives qui surviennent à longueur d’année.
Il faut savoir également qu’à la suite des inondations de 2001 et au seisme de Boumerdès en 2003, plus de 80% des immeubles recensés ont plus de 50 ans d’âge. Sur les 57 communes que compte Alger, 8 présentent un grand danger pour les habitants, comme La Casbah, dont la vétusté des bâtisses est plus perceptible, Bab El-Oued, El-Madania, Sidi M’hamed, Belouizdad, Hussein- Dey et El-Harrach.
Selon un diagnostic du CTC, les bâtisses sont classées par niveaux : la classe I représente 15% des bâtisses menacées. La classe II, celles qui sont en dégradation critique, soit 52% des bâtisses menacées. La classe III représente 30%, et enfin la classe IV 1% seulement. Le parc immobilier dans la wilaya d’Alger souffre d’une vétusté alarmante.
Afin d’y faire face, outre l’important apport financier de l’Etat et un parc d’entreprises spécialisées, il s’agit également de dresser le bon diagnostic et d’engager une véritable opération de réhabilitation et de restauration, pas uniquement celle de peindre les façades des immeubles. Car comme dit l’adage national : «Toi qui est paré de l’extérieur, quel est ton véritable fond» !
 
 
 
 
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A
Non des locatteur ORAN, le 09/03/2014<br /> N°44 RUE DE TLEMCEN<br /> SAINT ANTOINE<br /> ORAN<br /> <br /> <br /> <br /> A<br /> MONSIEUR LE CHEF DE LA <br /> DAIRA D’ORAN<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> OBJET/ : A/S ECROULEMENT D’UNE PARTIE <br /> DE L’IMMEUBLE.<br /> <br /> J’ai l’honneur de venir respectueusement, par la présente, porter <br /> à votre connaissance qu’en date du 13/07/2013 vers 09h00 du matin <br /> s’est écroulé la dalle de la terrasse constituant la toiture du 2ème étage de <br /> l’immeuble suscité pour venir atterrir sur le sol constituant la toiture de <br /> mon logis. Après cet incident je me suis dirigé vers les autorités <br /> compétente à savoir : <br /> <br /> 1) LA PROTECTION CIVILE:<br /> <br /> A ce niveau et après que le préposé a pris connaissance <br /> des faits, sa première inquiétude était de savoir si cet incident n’a pas<br /> provoquer des morts ou des blessés, Dieu soit loué aucune personne <br /> n’est a déplorée suite à ce malheur qui a laissé les responsables de <br /> cette institution « froid »devant notre effroi qu’un jour cet immeuble <br /> constituera à tous les locataires de l’immeuble une tombe commune.<br /> <br /> 2) LA SURETE URBAINE (7eme arrondissement )<br /> <br /> Dés que l’information a été communiquée et recensée <br /> ces derniers se sont déplacés sur les lieux et suites aux constations du <br /> sinistre un rapport circonstanciel a été dressé et transmis par leur soins <br /> à qui de droit.<br /> <br /> A titre indicatif je porte à votre connaissance que des <br /> incidents pareils au nombre de trois ce sont déclarés durant ces quatre <br /> derniers mois avec une aggravation spécifique pour chaque cas. <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> A cet effet je vous serais gré Monsieur de bien vouloir <br /> inviter les services concernés afin de prendre les mesures nécessaires <br /> pour nous éviter le pire qui pourrait nous arriver à chaque moment et <br /> provoquer des pertes de vies à des citoyens méritant d’être pris en <br /> considération et d’avoir un droit à un logement décent prévu par notre <br /> constitution, leur évitant ainsi toute déploration et remontrance. <br /> A toute fin utile je tiens a vous préciser que suis père de<br /> famille composée de trois enfants de bas âges, comptant sur votre <br /> collaboration afin de résoudre ce problème qui risque d’aggraver<br /> ma situation et celle de mes enfants, veuillez croire Monsieur à mon<br /> profond respect.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> L’ INTERESSE*44*rue tlemcen oran
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B
44.Rue de Tlemcen : Effondrements successifs dans un immeuble <br /> par J. Boukraâ <br /> Les occupants de l'immeuble N°44, rue de Tlemcen, lancent un appel aux autorités locales, vu l'état dans le quel se trouve leur habitation. Occupé par plusieurs familles, l'immeuble en question date de l'ère coloniale et présente un danger permanent pour la vie des locataires. Il y a quelques semaines, cette bâtisse a été le théâtre d'un important effondrement. Une grande partie du plafond d'un appartement situé au 3ème étage s'est effondrée. L'effondrement a causé des blessures à une femme âgée de 54 ans. Les mûrs sont lézardés et menacent de s'effondrer à n'importe quel moment. «Notre immeuble a été le théâtre de plusieurs effondrements partiels successifs», dira un locataire. La peur de l'effondrement total hante leurs pensées. Des murs fissurés, des toits au bord de l'effondrement, une terrasse présentant un important affaissement risquant de s'aggraver. Chaque hiver, une partie du bâti cède sous la charge des phénomènes naturels et le poids des années. Devant ce risque, les autorités ont été à maintes reprises alertées, aussi bien les services de la Protection civile que les services techniques. Oran continue de perdre une à une ses anciennes bâtisses à un rythme inquiétant et le spectre des victimes plane au dessus des vieilles bâtisses dans les vieux quartiers de la ville. Il ne se passe pas un jour sans qu'on entende parler d'un effondrement total ou partiel. La majorité des quartiers d'El Bahia est menacée par le risque des effondrements. <br /> <br /> Durant la dernière décennie, les services de la Protection civile de la wilaya d'Oran ont enregistré une moyenne de 250 effondrements par an. Le pic a été atteint en 2007 où 313 effondrements et effondrements partiels et 120 risques d'effondrements ont été enregistrés. Cette année était dramatique, puisque quatre femmes sont mortes dans des effondrements dont trois de la même famille à El-Hamri et la quatrième à Kouchet El Djir. En 2008, 301 effondrements et 143 risques d'effondrements ont été recensés. Bilan, trois morts et une vingtaine de blessés. Parmi les victimes, un enfant de 11 ans tué par un pan de plafond en plein sommeil au niveau du lieudit «Terrain Chabat» dans le quartier des Planteurs. La même année, une jeune femme âgée de 25 ans et son enfant âgé à peine de trois ans sont décédés, ensevelis sous les décombres de leur habitation érigée dans le bidonville «El Oued» à Hai Bouâmama (ex-El Hassi). Plusieurs mesures ont été prises par les services concernés pour faire face à ces drames à répétition. Plusieurs actions ont été mises en place pour faire face à cette situation notamment le relogement des familles, l'éradication des immeubles menaçant ruine et la réhabilitation du vieux bâti. Cependant, le problème du vieux bâti à Oran a de beau jour devant lui, surtout lorsqu'on sait que quelque 55.000 habitations individuelles et 2.000 immeubles classés en zone rouge menacent ruine dans les anciens quartiers de la ville, selon un recensement des services de la daïra. Ces immeubles, classés vieux bâtis, peuvent s'effondrer à tout moment. Les vieux immeubles sont éparpillés sur tous les anciens quartiers de la ville.
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